La damnation de Automne Auteure
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Résumé de La damnation :
Abigaëlle Leroy a compris à ses dépens que la parole des démons est souvent trompeuse. A présent, c’est au tour de Denis Maréchal de le découvrir.
L’annonce était trop belle pour être honnête.
Denis aurait dû se méfier du prix de cette propriété de Loyes-les-Terrils et sa magnifique demeure de style colonial, car celui-ci se montrera bien différent du chiffre annoncé.
Après la découverte du cadavre de son propriétaire, Denis se retrouvera bien malgré lui le garant d’une dette qui ne le concernait pourtant pas.
Une folle du volant, un thérapeute phobique, une mère affolée, un magicien dément, un jeu vidéo maudit, en passant par l’histoire de Charles de Backing, celui à qui Denis doit sa venue en Enfer.
« 16 histoires vécues, 16 histoires rêvées, 16 histoires qui auraient pu être » pour prix de la liberté. 16 histoires qu’il devra recueillir auprès des âmes errantes de l’Enfer, à la demande de son créancier : Lucifuge Rofocale.
Mais parole de démon est fourbe. Denis aurait dû se méfier.
La Damnation n’est pas tout à fait une suite de la Perdition. Chaque tome pouvant se lire indépendamment de l’autre.
Saurez-vous résister à l’envie d’y retourner ?
Mon avis :
Je n’ai pas résisté à l’envie d’y retourner. Après la perdition, me voilà partie dans la damnation pour être damnée à vie…
Dès le début de l’histoire, j’ai eu envie de hurler au personnage de se méfier. Qui entre ainsi dans une maison ? Hein ?
Bref, j’ai adoré finalement qu’il n’en fasse qu’à sa tête, car j’ai pu me délecter de ces 16 histoires qu’il a recueillies. Certaines plus glauques que d’autres, mais toujours avec un je ne sais quoi qui fait que je les aime, alors que la lecture noire n’est pas mon kiff en général. Sûrement parce que ce n’est pas du noir pour du noir, il y a toujours (enfin je crois), une histoire humaine derrière.
Par contre, carton rouge à l’auteure qui a abandonné ce pauvre chien dont on n’a pas de nouvelle à la fin de l’histoire… Finalement, ne vaut-il mieux pas savoir…
Un recueil à lire donc, sans hésitation, si vous n’avez pas peur de finir, près, très près du diable en personne !
