Haïkus 156 : l’odeur du foin, odeur d’enfance
je ne sais pas si je vais beaucoup parler de l’odeur du foin, mais du foin il est sûr. J’en ai des souvenirs d’enfance, assez anciens donc. Depuis, je ne m’y suis plus vraiment frottée… Je vais donc essayer de me replonger dans l’enfance, ou de penser à des clichés bien connus sur le sujet.
Catégorie : Mes poésies
Haïkus 155 : les vaches rouges, blanches et noires.
Haïkus 155 : les vaches rouges, blanches et noires.
Je séchais pour le titre, avant même de me demander ce que j’allais écrire derrière. Et puis cette chanson m’est revenue en tête. Rassurez-vous, je ne pense pas vous chanter la chanson. Allez zou, direction la Normandie, sur laquelle tombe la pluie ! OK, je m’arrête-là, et je file vous écrire quelques haïkus !
Haïkus 154 : les onomatopées se réveillent
Haïkus 154 : les onomatopées se réveillent
…et se rendorment en fin de journée. J’espère qu’elles seront plus réveillées que moi. j’ai un sacré coup de mou ces jours-ci… Alors, dring, retour du réveil le matin ? Est-ce lui la cause ? Ou ce satané virus qui sommeillerait en moi… Allez savoir, moi j’en saurais peut-être un peu plus demain.
Ou alors le manque d’air, le manque de promenade… Bref, vivement demain, ou pas !
Haïkus 153 : patienter dans la salle d’attente
Haïkus 153 : patienter dans la salle d’attente
Cela fait un an que je n’ai pas vu mon médecin et encore, j’étais en visio. J’espère ne pas avoir besoin de lui d’ici peu… Je croise les doigts des mains des pieds, et je compte sur mes huiles essentielles pour me protéger. Cela sera-t-il suffisant… ?
Place aux haïkus, assez rapide par manque de temps.
Haïkus 152 : le blanc au soleil lui même parfois blanc
Haïkus 152 : le blanc au soleil lui même parfois blanc
Pas très inspirée par ce thème, ce n’est pas la raison qui fait que je suis en retard cette semaine. Il n’y en a pas beaucoup, mais ils étaient prêts dans mon téléphone. Me restait à trouver le temps de les mettre en ligne. Pas facile avec cette fin de semaine galopante et des nouvelles peu réjouissantes. Bref, peu courageuse aujourd’hui, je m’y mets tout de même.
Haïkus 151 : le beau et le laid se côtoient.
Haïkus 151 : le beau et le laid se côtoient.
Un thème pas forcément facile à suivre, j’ai essayé au mieux. Parfois le bien et le mal ont pris le pas sur le beau et le laid. Du moins je le pense. Bref, j’ai fait au mieux, en tentant de regarder autour de moi lors de mes promenades. Une autre façon de vous emmener avec moi dans mes marches journalières. Vous me suivez ?
Haïkus 150 : repassage, on en viendra tous à bout !
Haïkus 150 : repassage, on en viendra tous à bout !
En voilà un thème qui doit parler à tout le monde… Enfin, surtout aux femmes, désolée de le dire ainsi. Il y a entre certains, une grande histoire d’amour entre le fer et eux. J’ai vu un reportage à la télé, il y a peu… Mais est-ce pour une majorité de femmes ? J’en doute fort… Je n’entends en général que médisance envers cet objet qui vient trop souvent nous casser les pieds ! Alors, en viendra-t-on à bout de ce repassage qui nous pourrit la vie ? Enfin la mienne… Et pour quel retour ? Je me le demande encore…
Haïkus 149 : la reine du shopping ? Pas moi !
Haïkus 149 : la reine du shopping ? Pas moi !
Le thème est arrivé à point nommé le jour où je suis allée faire du shopping avec fiston numéro deux. Je n’y vais jamais par plaisir, surtout avec lui. Bon, pas de prise de tête cette fois-ci. J’ai pensé à emmener mon arme secrète. Si j’avais su que ce serait le thème, j’aurais demandé à la vendeuse de me prendre en photo !
Haïkus 148 : Venez tous rire avec moi !
Haïkus 148 : Venez tous rire avec moi !
Ah rire en ce moment, comme dit Lénaïg, ça fait du bien. Alors essayons de rire un peu. Vais-je y arriver, à vous faire rire ? Ce n’est pas mon point fort en général. Bon testons un peu…
Haïkus 147 : l’attente confinée pas si confinée que ça.
Haïkus 147 : l’attente confinée pas si confinée que ça.
L’attente confinée, un thème pas si facile pour moi, car en ce deuxième confinement, ma vie n’a pas vraiment été modifiée. Je ne me sens absolument pas confinée, si ce n’est… Ah non, je ne vais pas tout vous dire ainsi… Allons discuter au travers de ces quelques haïkus.