Au coeur des relations humaines, la force tranquille de l'écriture
Haïkus 96 : Les sons tout autour de nous !
Les sons nous entourent au quotidien, qu’ils soient naturels ou pas… C’est le jour où la maladie m’a fait ne plus supporter le bruit que je m’en suis rendue compte. Heureusement que le temps passant, seuls les gros bruits me gênent aujourd’hui.
Pas eu le temps de beaucoup m’étaler, j’aurais aimé faire mieux… Quelques petites choses pondues ce matin au lever !
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Haïkus 95 : le coq à toutes les sauces !
Ah le coq ! Avec sa belle voix (sauf quand il nous réveilles), son panache, sa fierté et sa combativité… J’ai essayé de faire le tour de ce qui pouvait être le symbole du coq. J’en ai appris des choses, comme le pourquoi du coq sur les édifices religieux.
Cocoricooooooooooooooooo !
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Haïkus 94 : perdue sur une île déserte
Je ne sais pas si on doit si perdre, mais quand on me parle d’île, deux choses me viennent en tête, se retrouver seule sur une île déserte, ou à l’opposé les îles paradisiaques ! J’ai quand même fait un petit détour par l’Irlande, la seule île sur laquelle je suis allée.
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Haïkus 93 : partons pour une visite du zoo
Zoo ou not zoo, telle est la question. Pour ma part, je n’en suis pas une grande fan. Arpenter des allées pour regarder des animaux, ce n’est pas ma tasse de thé. Mais il n’y a aucune raison particulière. Sauf si un animal n’était pas bien traité. J’ai quand même essayé de voir le positif et le négatif de ces lieux très touristiques.
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Haïkus 92 : les fourmis… le retour… avec les beaux jours.
Aujourd’hui, une colonie de fourmis s’abat sur la blogosphère ! Je ne suis pas encore allée leur rendre visite, car je ne lis pas avant d’avoir produit, et je dois dire que je ne suis pas en avance. Un rythme à reprendre après les vacances ! Allez, il faut suivre le mouvement, et avancer avec les fourmis qui reviennent avec les beaux jours pour nous rendre visite ! Pas toujours joyeux de les voir débarquer et pourtant… Un dernier haïkus dédié aux amoureux du jardin !
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Haïkus 91 : des yeux bleus au yeux marron, des regards
Pas en avance pour rendre ma copie, mais je suis encore dans les clous. Écrits dans la voiture en allant conduire mon grand chez un copain dans l’Orne (Je vous rassure, ce n’est pas moi qui conduisait !).
Derrière les lunettes de soleil, quels yeux se cachent ? Des regards qui ne trompent jamais, il suffit de bien les regarder. Bons yeux à tous.
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Haïkus 90 : lilas, quand reviendras-tu ?
Disserter, euh non, haïkuter sur une seule fleur du printemps, voilà un défi que je relève avec plaisir. Mon choix s’est porté sur le lilas, une de mes fleurs préférées du printemps. J’ai hésité avec le coucou. Mon lilas, j’en avais trois beaux pieds au fond du jardin lorsque nous avons acheté la maison, mais lors de la construction de la fausse septique, tout a été retiré et impossible d’en remettre à cause de la fosse qui prend toute la place. Mais je ne désespère pas d’en avoir un ou deux… affaire à suivre. En attendant, je m’arrête tous les matins devant celui de mon voisin pour y plonger le nez ! Et cette année, j’ai eu la joie d’en recevoir en classe ! Que du bonheur !
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Haïkus 89 : Le pollen cher à nos abeilles.
Ah le pollen, surtout évoqué à cause des allergies qu’il nous cause, mais c’est pourtant un élément important pour notre flore, et un ingrédient essentiel pour que nos abeilles nous produisent ce si bon miel. C’est pourquoi j’ai choisi l’abeille pour présenter ces haïkus du jour.
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Haïkus 88 : les lapins des villes ou des champs.
Parler de lapins me fait remonter à des années en arrière, une souffrance infligée par mes parents, si si, ils passeront et reconnaitront bien ! Eh oui, 30 ans après j’y pense encore ! Les trois derniers haïkus sont une suite qui narre cet affreux épisode ! Je m’en suis quand même remise depuis, mais quand même !
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Haïkus 87 : on va se faire un cinéma ?
Avec une journée de retard me voici venue faire mon cinéma. Eh oui, je vais le faire sur le blog, car pour moi, depuis mes soucis de santé, c’est terminé pour moi. Trop bruyant, je ne peux plus y aller. Mais je vais être honnête, cela ne me manque pas beaucoup, je ne suis pas une grande fan.
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