L’écharpe de la promise
Résumé de L’écharpe de la promise :
Le gendarme Eric Malet, jeune recrue passionnée par la montagne, aide à résoudre l’enquête sur le nouveau cadavre retrouvé en bas de la cascade. Pour Léonie, habitante du village depuis longtemps, le meurtre est l’affaire du diable.
Mon avis :
Un service presse papier reçu par l’éditeur que je remercie pour sa confiance.
Un livre dans lequel on retrouve une enquête policière et qui pourtant n’est pas axé sur ce point. Même si l’enquête reste toujours en arrière plan, je trouve le roman plus axé sur les relations humaines. D’abord les relations au sein de la gendarmerie, entre collègues. Pas toujours facile, mais chacun faisant l’effort d’accepter l’autre avec ses particularités, sa façon d’être, ses qualités et ses défauts (même si parfois il y a des étincelles !).
Ensuite, les relations familiales et amicales. Celles de deux autres amitiés qui se forment et qui au travers de leur relation nous font découvrir les liens familiaux. Un homme qui vit à l’écart, pas très aimé du village, que cache-t-il ? Comment vivait-il avec sa fille ? Quelles étaient leurs relations pour qu’un drame y survienne ? Comment comprendre un tel geste ?
Une enquête tout de même bien rodée, qui nous emmène dans la montagne, au plein air, qui nous fait rencontrer les gens du pays. Les relations qui tisse le jeune gendarme avec la population nous permet de la découvrir tout en faisant avancer une enquête assez compliquée et avec peu d’indices.
La résolution est assez particulière mais se comprend (du moins on comprend le choix de l’auteur) si on reste fidèle au fait de vouloir toujours s’attacher à la personne humaine, à son moi intérieur.
Un roman qui m’a beaucoup plu et qui change de ce que je lis habituellement.
Si je vous ai convaincu, cliquez ici.
Merci Séverine pour la présentation de ton ressenti concernant ce livre. A moitié convaincue.
Bises et bon mardi
Un roman sans aucun doute passionnant qu’il faut lire
Dans l’ensemble, j’aime les romans policiers. Pour les français, je trouve Simenon inégalable car lui aussi décrivait si bien tout le côté social dans ses oeuvres. Quant aux anglo-saxons, j’adore ainsi que les suédois comme Ehning Mankell.
Donc celui que tu décris devrait me convenir.
Merci pour ton passage chez moi et bien amicalement.
Bien présenté…
Bises Sévy
Superbe, ton ressenti, Séverine ! Bonne poursuite de ce mardi ! Amitiés♥
Petit passage ma Sévy pour te souhaiter une bonne soirée bisous
Très bonne chronique qui donne envie de découvrir ce bouquin! Bravo!