Si tu passes par l’eldorado
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Résumé de Si tu passes par l’eldorado
Emilie Deville a rendez-vous avec Gabriel de la Vega dont elle était tombée amoureuse, 8 ans plus tôt. Emilie, jeune femme effacée, et Gabriel, homme fier et passionné, avaient alors partagé leurs vies durant trois années avant qu’Emilie ne disparaisse du jour au lendemain sans laisser de trace. Que s’est-il passé ? A leurs côtés, des ami(e)s, haut en couleur, veilleront afin de tenter d’éviter un nouveau dérapage. La vie donnera-t-elle une seconde chance à Emilie et Gabriel ?
« Si tu passes par l’Eldorado » met en lumière les problèmes liés à la confiance en soi et à l’estime de soi. Grâce à l’intervention salvatrice des seconds rôles, elle fait du bien par son côté positif. Mais, cependant, n’oubliez pas que la vie reste la vie avec son lot de rires et de larmes.
« Si tu passes par l’Eldorado » est rédigé à la troisième personne, parfumé d’humour, d’amitié, d’amour, de jalousie aussi… avec des dialogues endiablés et pertinents. Entre présent et flash-back, les personnages se dévoilent petit à petit et éveillent notre désir d’en apprendre plus sur leur histoire.
Mon avis :
Une lecture qui m’a profondément agacée. D’abord et surtout avec les flashs back constant. Je déteste retourner sans arrêt en arrière, j’ai l’impression de ne pas avancer dans l’histoire. Surtout quand c’est placé de façon bien stratégique, au moment où on pense qu’on va savoir.
Je me suis attachée au personnage principal, Emilie, même si elle aussi m’a agacée profondément. A la manière de Anna sa meilleure amie et collègue, je l’aime malgré les coupes de pied au c… qu’on a envie de lui filer tellement elle choisit toujours la mauvaise option de vie.
Tout m’a agacée ? Non, autrement, j’aurais refermé le livre et je ne vous en parlerais pas. J’ai aimé cette histoire d’amour improbable, cette lutte contre soi-même pour s’accepter tel qu’on est, cette lutte pour accepter l’autre tel qu’il est.
De belles leçons de vie à découvrir à travers des personnages hauts en couleur, même si parfois agaçants. Une petite puce qui n’a pas sa langue dans sa poche, donne un peu de punch à cette histoire qui paraît perdue d’avance.
Je me suis laissée prendre par cette histoire qui m’appelait pour que j’aille au bout pour en connaître la fin.