On n’a qu’une mère
Résumé :
Une jeune fille violée et assassinée dans les environs de Saintes, une autre dans les parcs de La Rochelle, les deux affaires sont-elles liées ? Pour Joubert, capitaine de la Crime à La Rochelle et Sonia Balard, lieutenant de la Crime à Saintes, une affaire compliquée. L’aide de Forestier, psychanalyste de son état, impliqué personnellement dans celle-ci sera-t-elle suffisante pour la résoudre ?
On n’a qu’une mère. Encore en vie ou décédée. Connue ou inconnue. Que nous soyons ou que nous étions en bons ou mauvais termes… Quelle que soit cette relation, elle est et restera, réelle ou fantasmée, présente en nous. Si nous l’aimons, tant mieux. Si ce n’est pas le cas, il est absolument indispensable que nous fassions la paix avec elle, avec cette partie de nous-mêmes au risque d’en souffrir et de faire souffrir ceux qui nous entourent.
Mon avis :
On n’a qu’une mère, certains me diront, heureusement !
C’est un des premiers livres que j’ai lus qui se passe en dehors de La Rochelle, j’ai eu un peu de mal au départ, mais finalement, j’ai bien accroché comme pour tous ces romans. Dur dur de se défaire des habitudes de Joubert. Quant à Forestier, on le découvre sous un nouveau jour.
Un roman à lire sans hésiter, et qui sait, pour ceux qui ont des soucis avec leur mère, vous aidera-t-il à vous réconcilier avec elle.
A méditer :
“Il est absolument indispensable que nous fassions la paix avec elle, avec cette partie de nous-mêmes, au risque d’en souffrir et de faire souffrir ceux qui nous entourent.”
[…] On n’a qu’une mère […]
Ha ben voilà la news j’avais pas vu ou cliquer suis endormie aujourd’hui?….l’as l’air pas mal du tout. Bisous