Le galoupiot à Sancerre
Résumé de Le Galoupiot à Sancerre :
Dans les années 1960, Lucien, Solognot de 16 ans, orphelin de père et de mère, doit trouver une ferme pour y exercer le métier de commis ; on lui en propose une près de Sancerre et il y passera de commis vacher à commis chieuves. Il sera alors confronté à une série de meurtres inexpliqués liée à son nouveau patron ; il mettra tout son cœur pour aider la gendarmerie à démasquer l’assassin.
Cet adolescent nous fera vivre son enquête dans le Sancerrois avec le travail de la vigne et des vendanges, de la traite des brebis et des travaux des champs. De plus, il se rendra compte qu’on peut résoudre les énigmes d’aujourd’hui que par la connaissance de l’histoire du pays, naguère et jadis, celle de Sancerre étant particulièrement riche à cet effet.
Mon avis :
Un livre qui me parlait bien puisqu’il s’agit de meurtres à résoudre. Pourtant, j’ai eu beaucoup de mal à y entrer. Je l’avais commencé il y a un bon moment, puis laissé de côté. Il m’a fallu mon challenge de la coupe d’Europe pour m’y replonger. Pourquoi cette difficulté ? Je pense que le grand nombre de personnage m’a très vite perdu, et j’avais du mal à m’y retrouver. Qui est qui ? Le lien avec l’histoire, avec le personnage principal ?
Ce démarrage difficile pourrait être dommageable car j’ai failli ne pas y revenir. Et pourtant, une fois dedans, l’enquête est assez passionnante et même troublante. Jamais on ne se doute du coupable, même si j’ai eu quelques doutes sur la véracité des dires de ce personnage mais jamais au point de penser qu’il puisse être le coupable, un complice tout au plus.
Il m’est arrivé également de me perdre dans les changements de chapitres, à cause de retour en arrière, de témoignages du passé. J’ai du être plus attentive aux dates mentionnées en tête de chapitre pour ne plus me perdre. Surtout que cela amène forcément de nouveaux personnages dont on comprend l’implication ou le sens à la fin de l’histoire.
Une enquête bien menée, même si, contrairement à ce que dit le résumé, je trouve que l’entraide entre gendarmerie et le jeune n’est pas très explicite même presque inexistante, puisque Lucien ne fait que répondre aux convocations, et ne va pas de lui-même parler à la gendarmerie de ses avancées.
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Bonjour Séverine, grande lectrice devant Dieu… Merci pour ton ressenti…
Devant Dieu, je ne sais pas, mais quand je reprendrai le travail, mon débit risque d’être moins bon !
bonjour j aime bien ce que vous faite j aime votre poésie
continuer robert armand
Merci Robert.
Coucou Séverine. C’est bien, ta chronique des livres lus, on peut y venir y puiser et on est bien au parfum de ce qui nous attend. Tes difficultés pour celui-ci me rappellent celles que j’ai eues à lire “Parti tôt, pris mon chien” de Kate Atkinson, découpage et allées et venues dans le temps déroutants, multitude de personnages aussi. En ce moment c’est Le Braconnier du lac perdu de Peter May, la suite de L’homme de Lewis, encore des policiers, qu’on m’a offerts. Bon dimanche, bises.
Merci Lenaïg. je ne connais pas les livres que tu mentionnes.
Merci de vos commentaires sur mon premier Galoupiot, un deuxième sort en septembre… qui tient compte de vos remarques… C. Zananiri
Je poursuis…
depuis ce galoupiot et avant le prochain (Le Galoupiot, la main du diable) j’ai publié chez Marivole Edition deux autres policiers :
Faux semblants (plus thriller que policier)
Léocadie Lepic marraine de guerre (historique et policier)