Haïkus 155 : les vaches rouges, blanches et noires.
Je séchais pour le titre, avant même de me demander ce que j’allais écrire derrière. Et puis cette chanson m’est revenue en tête. Rassurez-vous, je ne pense pas vous chanter la chanson. Allez zou, direction la Normandie, sur laquelle tombe la pluie ! OK, je m’arrête-là, et je file vous écrire quelques haïkus !
Haïkus 155 : les vaches rouges, blanches et noires.
Rencontre fortuite
entre mon chien et la vache
un gros chien en vue.
Une grosse blonde
star malgré elle en ce jour
salon agricole.
On va voir les vaches !
enfants en culottes courtes
pub rafraîchissante.
Oh merde ! La vache
elle y est pourtant pour rien
ses oreilles sifflent.
Emmener les vaches
dans leur pré pour la journée
souvenirs d’enfance.
Aimée pour son lait
notre enfance au petit dej
goutte dans mon thé.
Elle n’y est pour rien
inutile d’être vache
de la bienveillance.
Une bête qui nous rend bien des services et qui pourtant et mise à toutes les sauces dans les expressions. Pourquoi être vache ? La pauvre bête n’y est pourtant pour rien. Ou Oh la vache ! quand on s’étonne du pire (désolée pour le gros mot en passant). Bref, je préfère les gastronomes en culottes courtes qui vont leur rendre visite. Et vous ? Avez-vous été inspirés par le sujet ? Je m’en vais vous lire pour le savoir.
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Le thème est donné sur le blog de Lénaïg . Donc, si le thème vous inspire, n’hésitez pas à rejoindre le groupe si le cœur vous en dit.