Marre des adultes, êtes-vous prêts à vivre de l’intérieur le passage de l’enfance à l’adulte ? Êtes-vous prêts à comprendre les difficultés que vivent les jeunes ? Êtes-vous prêts à faire un retour sur votre jeunesse ? Êtes-vous prêts à faire la connaissance d’une ado paumée qui cherche à être aimée ? Alors, tournez les pages du début du livre, laissez-vous aller dans le monde des ados. Un séjour linguistique sans aucune barrière de langue !
Pour avoir le livre en pleine page, cliquez sur le livre, et pour revenir au blog, appuyer sur échappe.
Vous êtes convaincus par le début du livre ?
Pas tout à fait….. Et si je vous donnais la quatrième de couverture ?
En vacances en séjour linguistique, ado paumée et mal dans sa peau, elle doit pourtant se faire à la vie de groupe.
Challenge bien difficile quand on a toujours la tête ailleurs, se sentant inintéressante pour les autres
et surtout lorsque votre vie familiale vous rattrape lors de votre séjour.
Ce roman vous amènera à suivre les difficultés que rencontre une ado rêveuse face au monde des adultes.
Convaincus cette fois-ci ?
Vous êtes prêts pour lire la suite ? Alors plus d’hésitation, Accéder à la boutique en ligne pour le commander en version papier ou version électronique (e-book) : Boutique de Sevylivres
Une fois le livre reçu et lu, pensez à retourner sur la Boutique de Sevylivres et à me laisser un avis.
Je vous attends avec impatience. Revenez vite me voir et parlons de cette ado, de ses amours, de ses soucis, de sa vie de famille ! Car au-delà de l’avis déposé sur la boutique, les échanges peuvent avoir lieu ici entre vous et moi. Une question, une précision, un simple ressenti plus personnel… La place est disponible dans les commentaires. Alors, n’hésitez pas, laissez-moi un commentaire en dessous !
[…] pour aider une collègue auto-éditée et ensuite parce que le thème se rapprochait de mon roman Marre des adutes le mal-être des adolescents. Je me suis dit qu’il était intéressant de voir comment il […]
[…] ne compte pas mes deux romans Entre Père et Fils et Marre des adultes en vente ici que j’ai lus et relus pour qu’ils soient prêts […]
Il m’aura fallu trois jours pour lire “Marre des adultes” que j’ai aimé. Je trouve l’écriture de l’auteure, du haut de ses dix-sept ans à l’époque, très mature. L’histoire se lit vite, les descriptions des lieux ne sont pas trop longues et juste suffisantes pour imaginer le décor parfois décrit de façon poétique. C’est très plaisant. La jeune fille est attachante, on ressent bien ses émotions d’autant plus lorsqu’on a connu la rupture familiale. L’histoire d’amour entre les deux jeunes gens est bien décrit, on ressent leur amour et leur complicité. J’ai aimé le contraste exposé tout au long de l’histoire entre la terrible solitude de la jeune femme et la vie familiale composée de nombreux personnages, adultes et enfants, qui fait qu’elle n’est pas seule. Son échappée, à un moment de l’histoire que je ne dévoilerai pas pour les prochains lecteurs, est haletante. beaucoup d’évènements en quelques pages qu’on n’a pas envie de lâcher. J’ai donc passé un moment très agréable à lire ce livre.
Bien amicalement.
Si ce livre se lit très vite, c’est que le style, maîtrisé façon nouveau roman, vous emporte d’une page à l’autre, à la suite d’une adolescente, qui porte un bagage émotionnel bien trop lourd pour son âge.
Attachante et bouleversante, la quête de cette jeune fille se lit avec l’envie de comprendre ce à quoi elle doit faire face. Les explications sont distillées avec art et l’auteur sait attiser votre curiosité.
A ses tourments, s’ajoute une histoire d’amour des plus plaisantes.
Pour se détendre, mais aussi pour réfléchir à ce que représente la cellule familiale et l’adolescence, je vous recommande ce beau roman.
[…] Marre des adultes […]
[…] tout va crescendo jusqu’au plaisir. Pour les deux premiers, je me suis inspirée de Marre des adultes, pour les trois suivants de A l’abri de la […]
[…] si personne ne nous lit ? Remarquez, c’est ainsi que j’ai commencé. J’ai écrit Marre des adultes entre mes 17 et mes 19 ans. Je ne l’ai publié qu’en 2015. Deux personnes l’ont […]