Avous de continuer au mois de mars 2017
Au loin, mouettes et cormorans accompagnaient, dans un ballet harmonieux, le retour d’un chalutier essoufflé et crachoteux.
Avous de continuer au mois de mars 2017
Je vous propose le début, à vous de poursuivre par une phrase ou plus, selon votre inspiration, selon votre temps, selon votre envie.
J’ai pris ce début dans L’île aux aigles de Brune-El. Je vous en parle d’ici quelque temps. Le livre ici.
Allez, à vos claviers ! Avous de continuer au mois de mars 2017, c’est parti !
Au loin, mouettes et cormorans accompagnaient, dans un ballet harmonieux, le retour d’un chalutier essoufflé et crachoteux.
Vos productions :
- Il avait sa panse pleine et les oiseaux la panse vide, avides d’une tête de morue ou ses viscères, gueulant dans une cacophonie indescriptible…
- Au loin, un autre chalutier venait jouer les troubles fêtes. Le poisson se faisait rare dans ces contrées où il faisait une très basse température.
- Il fendait les vagues, comme au rythme d’une musique africaine, jouée avec les tambours, annonçant, bientôt son accostage. Le chalutier, la panse pleine, mais de quoi ? Une rumeur enflait sur le port…
- … et cette rumeur s’amplifia à l’approche de ce second chalutier.
- Au loin, mouettes et cormorans accompagnaient, dans un ballet harmonieux, le retour d’un chalutier essoufflé et crachoteux. Enfin il sont en vue, partis depuis 2 semaines je n’y tiens plus j’ai besoin de revoir l’homme que j’aime, que la peur enfin quitte mon esprit pour quelques jours, si peu en fait.
- Les taches entourées de papillons qui virevoltent, se précisent!!! enfin je les vois de plus en plus près les papillons deviennent des mouettes, et tout se précise! en figure de prou mon Homme, celui qui me fait vibrer depuis si longtemps, et que j’admire je sens déjà l’odeur des filets, mélangés à la sueur des hommes……le feu dans la cheminée attend aussi, pétillant et tellement gai.
Il avait sa panse pleine et les oiseaux la panse vide, avides d’une tête de morue ou ses viscères, gueulant dans une cacophonie indescriptible…
Au loin, un autre chalutier venait jouer les troubles fêtes. Le poisson se faisait rare dans ces contrées ou il faisait une très basse température.
Il fendait les vagues, comme au rythme d’une musique africaine , jouée avec les tambours, annonçant , bientôt son accostage. Le chalutier , la panse pleine, mais de quoi ?.Une rumeur enflait sur le port …
… et cette rumeur s’amplifia à l’approche de ce second chalutier.
Au loin, mouettes et cormorans accompagnaient, dans un ballet harmonieux, le retour d’un chalutier essoufflé et crachoteux. Enfin il sont en vue, partis depuis 2 semaines je n’y tiens plus j’ai besoin de revoir l’homme que j’aime, que la peur enfin quitte mon esprit pour quelques jours, si peu en fait. Voilà bisous
Un beau début de phrase… A voir pour une suite
Bises Sévy
les taches entourées de papillons qui virevoltent, se précisent!!! enfin je les vois de plus en plus près les papillons deviennent des mouettes, et tout se précise! en figure de prou mon Homme, celui qui me fait vibrer depuis si longtemps, et que j’admire je sens déjà l’odeur des filets, mélangés a la sueur des hommes……le feu dans la cheminée attend aussi, pétillant et tellement gai