Avous de continuer 6 les maux mêlés de Eléa
Enfin !!! Elle était là devant lui. Et elle était belle, si belle toujours…
Avous de continuer 6 les maux mêlés de Eléa
Je vous propose le début, à vous de poursuivre par une phrase ou plus, selon votre inspiration, selon votre temps, selon votre envie.
J’ai mis une photo abstraite pour ne pas influencer votre imagination, car je trouve que ce début peut aller dans une multitude de directions.
J’ai pris ce début dans Maux Mêlés de Eléa.
Allez, à vos claviers ! Avous de continuer les maux mêlés, c’est parti !
Enfin !!! Elle était là devant lui. Et elle était belle, si belle toujours…
Avous de continuer 6, vos productions :
- … est-il qu’elle lui rappela sa mère, au même âge ; se peut-il, que de se ressembler autant !
- … la neige, de la neige, cela faisait une éternité qu’il n’en était tombé, alors ce matin il avait le coeur qui battait en ouvrant ses volets côté jardin…
- … comme hier lorsqu’il la vit pour la première fois, la mer avec sa mère, immense aux reflets d’argent, la radio dans la voiture se mit à chanter du Trenet…
- La Vierge de la grotte, comme à son tout premier pèlerinage, cela devait faire vingt ans, il était venu avec sa femme, une handicapée, sans trop d’espoir, sa dernière chance, il avait supplié Marie…
- … capricieuse orchidée, endormie à la fenêtre, il avait tant espérer d’elle une fleur, qu’un miracle se produisit, par saint Fiacre, parton des jardiniers ! Enfin elle était là sous ses yeux ébahis…
- La mer…
Point de mer chez moi
La chaîne des puys…
Danse et c’est mon paradis
Mes volcans me bercent
Tout au long des journées claires
Et telle une fascination
La mer …mes volcans
Berce mon cœur pour la vie
@ l’ouverture de mes volets
Chaque matin 🙂 - …. et aujourd’hui plus que d’habitude. Elle enfin avait compris qu’il fallait qu’elle vive pour elle, pour lui et qu’ils profitent du temps qui leur reste !
- Blanche comme la pureté, lumineuse comme le soleil, froide comme un sorbet, belle comme jamais. Enfin elle était là cette neige aimé. Et notre ours polaire est heureux comme jamais de la revoir enfin.
-
Il n’en revenait pas, elle était là, devant lui ! Sa muse était de retour, toujours aussi belle, aussi fière ; et lui qui n’écrivait plus depuis son départ se sentit soudain pousser des ailes…
- Sa muse revenue, elle a retrouvé son cahier, son crayon et de nouveau les lignes se sont remplies. Le silence, c’est du passé, il lui faut mettre par écrit les souffrances vécues durant toute cette absence. Mais il est là.
- Dans ses yeux il retrouvait leur complicité d’antan. Si longtemps séparés par les aléas de la vie , maintenant c’était bien fini ils allaient enfin vivre leur amour au grand jour .
- elle ressemble à une fleur, mais son cœur est-il toujours aussi pur ? Elle est resplendissante sous ce soleil d’été, mais son âme en est-elle le reflet ?
- Enfin !!! Elle était là devant lui; Et elle était belle, si belle toujours pour lui plaire, lui qui la voulait sexy mais classe..Ses yeux smockey, ses lèvres rouges satinées et ses boucles auburn..en souriant..Et heureux.il la regardait marcher, sa jupe courte virevoltait suivant ses pas, ses jambes habillées d’un voile noir, son chemisier lilas…
Elle était si belle pour lui, redevenue femme…épanouie.. - …souriante comme autrefois . Rien n’a changé pourtant 30 années sont passées … Ne pouvant plus tenir , il se jette dans ses bras et pleure comme un enfant perdu . Pourquoi se dit-il ne m’a -t-elle pas attendu ? Allongée sur ce brancard froid, elle semble encore vivante.
… est-il qu’elle lui rappela sa mère, au même âge ; se peut-il, que de se ressembler autant !
… la neige, de la neige, cela faisait une éternité qu’il n’en était tombé, alors ce matin il avait le coeur qui battait en ouvrant ses volets côté jardin…
… comme hier lorsqu’il la vit pour la première fois, la mer avec sa mère, immense aux reflets d’argent, la radio dans la voiture se mit à chanter du Trenet…
La Vierge de la grotte, comme à son tout premier pèlerinage, cela devait faire vingt ans, il était venu avec sa femme, une handicapée, sans trop d’espoir, sa dernière chance, il avait supplié Marie…
… capricieuse orchidée, endormie à la fenêtre, il avait tant espérer d’elle une fleur, qu’un miracle se produisit, par saint Fiacre, parton des jardiniers ! Enfin elle était là sous ses yeux ébahis…
Je ne suis pas douée pour ce genre d’exercice
Mais j’ai apprécié te lire
Bonne journée Séverine
Bises d’amitiés
La mer…
Point de mer chez moi
La chaîne des puys…
Danse et c’est mon paradis
Mes volcans me bercent
Tout au long des journées claires
Et telle une fascination
La mer …mes volcans
Berce mon cœur pour la vie
@ l’ouverture de mes volets
Chaque matin 🙂
…. et aujourd’hui plus que d’habitude. Elle enfin avait compris qu’il fallait qu’elle vive pour elle, pour lui et qu’ils profitent du temps qui leur reste !
Blanche comme la pureté, lumineuse comme le soleil, froide comme un sorbet, belle comme jamais. Enfin elle était là cette neige aimé. Et notre ours polaire est heureux comme jamais de la revoir enfin.
Bonjour Séverine
3 mois d’absence mais me revoila et je reviens m’abonner avec plaisir
Je t’embrasse affectueusement………..
Il n’en revenait pas, elle était là, devant lui! Sa muse était de retour, toujours aussi belle, aussi fière ; et lui qui n’écrivait plus depuis son départ se sentit soudain pousser des ailes…
Sa muse revenue, elle a retrouvé son cahier, son crayon et de nouveau les lignes se sont remplies. Le silence, c’est du passé, il lui faut mettre par écrit les souffrances vécues durant toute cette absence. Mais il est là.
Dans ses yeux il retrouvait leur complicité d’antan. Si longtemps séparés par les aléas de la vie , maintenant c’était bien fini ils allaient enfin vivre leur amour au grand jour .
elle ressemble a une fleur, mais son coeur est-il toujours aussi pur? Elle est resplendissante sous ce soleil d’été, mais son âme en est-elle le reflet?
Enfin !!! Elle était là devant lui; Et elle était belle, si belle toujours pour lui plaire, lui qui la voulait sexy mais classe..
Ses yeux smockey, ses lèvres rouges satinées et ses boucles auburn..en souriant..Et heureux.il la regardait marcher, sa jupe courte virevoltait suivant ses pas, ses jambes habillées d’un voile noir, son chemisier lilas…
Elle était si belle pour lui, redevenue femme…épanouie..
Ton illustration est superbe !!!
Bises Sévy
…souriante comme autrefois . Rien n’a changé pourtant 30 années sont passées … Ne pouvant plus tenir , il se jette dans ses bras et pleure comme un enfant perdu . Pourquoi se dit-il ne m’a -t-elle pas attendu ? Allongée sur ce brancard froid, elle semble encore vivante
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