Avous de continuer 5 la liberté conditionnelle
Le soleil ne s’était pas encore levé et les réverbères faisaient briller, pour quelques minutes encore, les pavés de la rue Saint Georges, dans le cinquième arrondissement de Lyon. Au loin, une sirène de police fit frissonner Romeo.
Avous de continuer 5 la liberté conditionnelle
Je vous propose le début, à vous de poursuivre par une phrase ou plus, selon votre inspiration, selon votre temps, selon votre envie.
J’ai pris ce début dans Liberté conditionnelle de Florian Dennisson. Je vous en reparle dans quelques jours.
Allez, à vos claviers ! Avous de continuer 5 la liberté conditionnelle, c’est parti !
Le soleil ne s’était pas encore levé et les réverbères faisaient briller, pour quelques minutes encore, les pavés de la rue Saint Georges, dans le cinquième arrondissement de Lyon. Au loin, une sirène de police fit frissonner Romeo.
Vos productions :
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Dans quelques heures il rejoindrait sa cellule, liberté conditionnelle, cette sirène le lui rappelait et pourtant l’envie n’y était pas, et si il grimpait à un balcon, qu’importe la Juliette, ou tant qu’à faire si…
La rue Saint Georges, au loin trois fêtard, mais pas un dragon, pas une Juliette, il avait en clochard erré toute la nuit, c’est tellement bon d’être enfermé dehors quand on est encore prisonnier…
- Dans la lumière blafarde un petit bouchon ouvre ses volets…son ventre gargouille …il fouille ses poches et en sort une petite pièce…
- On m’avait promis que le vieux bonhomme barbu de rouge vêtu allait passer cette nuit. Je l’ai pourtant attendu mais en vain. Il lui reste si peu de temps avant que l’aube ne pointe. Sera-t’il dans les temps ? Et s’il était tombé sur une bagarre au coin d’une rue d’un quartier mal famé ? Et si…. mais cessons les hypothèses, je n’ai peut être pas été assez sage tout simplement.
Dans quelques heures il rejoindrait sa cellule, liberté conditionnelle, cette sirène le lui rappelait et pourtant l’envie n’y était pas, et si il grimpait à un balcon, qu’importe la Juliette, ou tant qu’à faire si…
La rue Saint Georges, au loin trois fêtard, mais pas un dragon, pas une Juliette, il avait en clochard erré toute la nuit, c’est tellement bon d’être enfermé dehors quand on est encore prisonnier…
dans la lumière blafarde un petit bouchon ouvre ses volets…son ventre gargouille …il fouille ses poches et en sort une petite pièce…
Bonjour chère Séverine,
Je suis navrée mais je ne sais pas écrire, je n’ai pas d’idées et déjà en cours j’avais d’horribles problèmes.
Bel hiver, belle journée, gros gros bisous !
PS: Je viendrais lire la suite 🙂
On m’avait promis que le vieux bonhomme barbu de rouge vêtu allait passer cette nuit. Je l’ai pourtant attendu mais en vain. Il lui reste si peu de temps avant que l’aube ne pointe. Sera-t’il dans les temps ? Et s’il était tombé sur une bagarre au coin d’une rue d’un quartier mal famé ? Et si…. mais cessons les hypothèses, je n’ai peut être pas été assez sage tout simplement.
J’aime beaucoup la photo et le début. Malheureusement pas trop le temps d’improviser pour donner une suite.(Préparatifs de Noël !!!)
Bises Sévy
J’aime beaucoup… vraiment. Pas inspirée du tout… désolée…
Ouf ! Je n’ai pas eu le temps de visiter les blogs ou presque pas, en ce jeudi, Séverine ! J’ai eu trop à faire … je regrette ! À une prochaine fois ! Bon vendredi ! Amitiés♥