Avous de continuer 2 au mois de juin 2017
Mon père avait coutume d’appeler ce coin du Montana « la larme d’un ange ». J’imaginais…
Avous de continuer 2 au mois de juin 2017
Je vous propose le début, à vous de poursuivre par une phrase ou plus, selon votre inspiration, selon votre temps, selon votre envie.
J’ai pris ce début dans Josh de Alexis Arend
Allez, à vos claviers ! Avous de continuer 2 au mois de juin 2017, c’est parti !
Mon père avait coutume d’appeler ce coin du Montana « la larme d’un ange ». J’imaginais…
Vos productions :
J’imaginais…
- toutes sortes de choses, d’abord l’ange, l’ange qui pleure, un ange de cimetière, forcément, sur une pierre tombale, du coup ce coin de Montana me semblait assez lugubre…
- que ce coin n’avait rien d’un paradis pour faire pleurer un ange…
- ce coin aride, sec, sans pluie ou presque, que la larme versée d’un ange était chose précieuse, rare, comme un ange ici bas…
- Un ange aurait-il pris sa demeure dans mon œil pour évacuer les larmes qui déborderaient chez lui ? Mon œil n’est pas si grand que ça, ou l’ange aurait-il rétréci au lavage ? D’ailleurs qui a déjà vu le corps d’un ange ? Est-il grand, est-il petit ? J’en n’ai jamais vu, même dans mes rêves, sans doute parce que je ne suis pas poète.
- Qu’un ange avait pleuré là, sur la Terre souffrante par la folie des hommes.
- un ange comme celui qui se dessine dans le ciel pour nous toquer et nous le dire que la vie est belle
Pleurons de joie à l’unisson, Envolons-nous dans le tourbillon de l’espoir du vivre en paix 🙂 - que cela lui rappelait sa mère qui avait tant et tant pleuré son fils aîné, parti dans ce coin du Montana et jamais revenu, lui si jeune, encore un enfant pour elle. Tous les soirs au coucher du soleil, accoudée à sa fenêtre, elle espérait toujours le voir revenir, projeté par un vent si fort, tout droit, là, devant elle, pourtant si loin de ce coin du Montana.
- l’endroit comme un enfer plutôt, sec, aride, désert, au point que la larme d’un ange était chose précieuse… une perle rare, une minuscule oasis.
- Il n’avait pas résisté à l’appel de ces forêts immenses, de ces lacs au reflets turquoises , de ses montagnes aux légendes encore vivantes ….
Coucou Séverine… j’avais laissé trois coms hier….! Bon
…. l’endroit comme un enfer plutôt, sec, aride, désert, au point que la larme d’un ange était chose précieuse… une perle rare, une minuscule oasis.
Ben vi, il y a eu un souci, et je vois que tout a disparu. Bon, t’inquiète, j’ai encore vos messages dans ma boite mail (vive mon retard !), je devrais pouvoir tout remettre !
Tous les soirs au coucher du soleil, accoudée à sa fenêtre, elle espérait toujours le voir revenir, projeté par un vent si fort, tout droit, là, devant elle, pourtant si loin de ce coin du Montana.
N.B. :C’est la suite de : … que cela lui rappelait sa mère qui avait tant et tant pleuré … ci-haut ↑
Il n’avait pas résisté à l’appel de ces forêts immenses, de ces lacs au reflets turquoises , de ses montagnes aux légendes encore vivantes ….