A vous de continuer mars 2016
Il écarquilla les yeux. Il repéra une silhouette féminine qui s’ébattait dans l’eau calme et docile…
(Tatanka)
A vous de continuer mars 2016
Je vous propose le début, à vous de poursuivre par une phrase ou plus, selon votre inspiration, selon votre temps, selon votre envie.
Allez, à vos claviers !
Il écarquilla les yeux. Il repéra une silhouette féminine qui s’ébattait dans l’eau calme et docile…
Vos productions :
- Telle une Vénus elle en sortit, belle comme un songe dans sa nudité d’Eve… à l’abri de son regard il l’épia, à quinze ans le coeur est prompt aux émois, il se mit à rêver d’un impossible rêve…
- Il rêve debout ou est-ce la réalité qui dans le brouillard de l’eau s’ouvre progressivement à lui ! Il ne le sait pas, il n’ose découvrir une réalité qu’il ne pourra narrer à personne sans que l’on se moque de lui. Non il ne rêve pas, il est bien éveillé, et pourtant il n’ose y croire.
- ne pense-t-il pas voir une sirène l’appelant pour un long voyage ?
- Soudain un bruit étrange ci joint à cette mi réalité qui vient perturber son émerveillement.
- L’eau bouillonne loin devant lui. Une vague blanche telle un brouillard épais s’approche. Un tsunami se prépare-t-il pour l’engloutir ? De cette nuée blanchâtre transparait peu à peu comme une forme humaine qui semble lui faire signe. Va-t-elle le happer ? Va-t-il disparaître corps et âme dans cette immensité de la mer ? Qui appeler ? Le rivage est trop loin pour qu’on l’entende. Il a abusé de ses forces en s’éloignant de la plage et le voici coincé. Il ferme les yeux se laissant absorbé par la mer qui veut l’engloutir quand une petite voix se fait entendre tout au fond de son être : bonjour ! Surpris, il ouvre les yeux. Devant lui comme une femme qui lui sourit et lui tend la main.
- … Elle l’invita à le rejoindre … Comment résister à cet appel ? Il plongea et nagea longtemps sans jamais atteindre cette silhouette qui avait disparu !!!L’imagination nous joue parfois des tours !!!
- Je dors ou je rêve ! J’ai vécu une belle histoire que je garde au plus profond de ma mémoire. A qui la raconter ? Qui me croirait ? Et pourtant j’ai vu cette silhouette qui s’approchait. Elle n’avait pas peur de l’homme que j’étais et moi je restais calme devant cette vision d’un autre monde, qui me renvoyait aux contes de mon enfance.
Oui, j’ai enfermé cette image dans mon subconscient. Je la garde pour moi. Peut-être qu’un jour, au cours d’une baignade, elle reviendra me voir pour m’emmener dans son domaine imaginaire. - Non je n’ai pas rêvé. Ce matin je suis retourné à la plage et je me suis baigné. Tout à coup, au creux d’une vague, elle était là, comme hier. La même silhouette, les mêmes gestes en me regardant. J’étais pétrifié de peur mais aussi d’une certaine joie de la retrouver. Je l’ai suivie sans me rendre compte que je m’éloignais de la rive. Elle s’est assise sur un éperon rocheux ; mais lorsque je me suis approché pour me glisser et m’asseoir auprès d’elle, elle a disparu dans les flots et je suis resté seul. Au bout d’un moment, un peu reposé des efforts que j’avais réalisés en la suivant, voyant qu’elle ne revenait pas, je repris la nage en sens inverse pour rejoindre la plage.
- Et ô surprise ! Elle m’attendait , souriante, bronzée, à peine mouillée. Elle me tendit la main et me dit :
– » c’est toi que j’attendais ; viens avec moi » - Je veux bien te suivre dans ton domaine de rêve. Mais j’ai des enfants qui m’attendent sur la plage. J’aimerais cependant rester encore un peu avec toi, l’histoire de se connaître et de nous retrouver de temps à autre. Tu dois vivre dans un monde splendide, et je crains qu’une fois partie, je ne puisse plus revenir en arrière pour rejoindre ma petite famille.
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Ok… Telle une Vénus elle en sortit, belle comme un songe dans sa nudité d’Eve… à l’abri de son regard il l’épia, à quinze ans le coeur est prompt aux émois, il se mit à rêver d’un impossible rêve…
Bon jeudi Sérevine…
Il rêve debout ou est-ce la réalité qui dans le brouillard de l’eau s’ouvre progressivement à lui ! Il ne le sait pas, il n’ose découvrir une réalité qu’il ne pourra narrer à personne sans que l’on se moque de lui. Non il ne rêve pas, il est bien éveillé, et pourtant il n’ose y croire.
ne pense-t-il pas voir une sirène l’appelant pour un long voyage
Soudain un bruit étrange ci joint à cette mi réalité qui vient perturber son émerveillement.
Très douce journée ma douce sevy
L’eau bouillonne loin devant lui. Une vague blanche telle un brouillard épais s’approche. Un tsunami se prépare-t-il pour l’engloutir ? De cette nuée blanchâtre transparait peu à peu comme une forme humaine qui semble lui faire signe. Va-t-elle le happer ? Va-t-il disparaître corps et âme dans cette immensité de la mer ? Qui appeler ? Le rivage est trop loin pour qu’on l’entende. Il a abusé de ses forces en s’éloignant de la plage et le voici coincé. Il ferme les yeux se laissant absorbé par la mer qui veut l’engloutir quand une petite voix se fait entendre tout au fond de son être : bonjour ! Surpris, il ouvre les yeux. Devant lui comme une femme qui lui sourit et lui tend la main.
… Elle l’invita à le rejoindre … Comment résister à cet appel ? Il plongea et nagea longtemps sans jamais atteindre cette silhouette qui avait disparu !!!
L’imagination nous joue parfois des tours !!!
Belle fin de journée sous le soleil Sevy !
Nicole
Je dors ou je rêve ! J’ai vécu une belle histoire que je garde au plus profond de ma mémoire. A qui la raconter ? Qui me croirait ? Et pourtant j’ai vu cette silhouette qui s’approchait. Elle n’avait pas peur de l’homme que j’étais et moi je restais calme devant cette vision d’un autre monde, qui me renvoyait aux contes de mon enfance.
Oui, j’ai enfermé cette image d
Oui j’ai enfermé cette image dans mon subconscient. Je la garde pour moi. Peut-être qu’un jour, au cours d’une baignade, elle reviendra me voir pour m’emmener dans son domaine imaginaire.
Non je n’ai pas rêvé. Ce matin je suis retourné à la plage et je me suis baigné. Tout à coup, au creux d’une vague, elle était là, comme hier. La même silhouette, les mêmes gestes en me regardant. J’étais pétrifié de peur mais aussi d’une certaine joie de la retrouver. Je l’ai suivie sans me rendre compte que je m’éloignais de la rive. Elle s’est assise sur un éperon rocheux ; mais lorsque je me suis approché pour me glisser et m’asseoir auprès d’elle, elle a disparu dans les flots et je suis resté seul. Au bout d’un moment, un peu reposé des efforts que j’avais réalisé en la suivant, voyant qu’elle ne revenait pas, je repris la nage en sens inverse pour rejoindre la plage.
Et ô surprise ! Elle m’attendait , souriante, bronzée, à peine mouillée Elle me tendit la main et me dit:
-” c’est toi que j’attendais ; viens avec moi”
Je veux bien te suivre dans ton domaine de rêve. Mais j’ai des enfants qui m’attendent sur la plage. J’aimerais cependant rester encore un peu avec toi, l’histoire de se connaître et de nous retrouver de temps à autre. Tu dois vivre dans un monde splendide, et je crains qu’une fois partie, je ne puisse plus revenir en arrière pour rejoindre ma petite famille.