A vous de continuer février 2016
Une fois qu’il fut parti, elle resta seule, le cœur chagrin…
A vous de continuer février 2016
Je vous propose le début, à vous de poursuivre par une phrase ou plus, selon votre inspiration, selon votre temps, selon votre envie.
Allez, à vos claviers !
Une fois qu’il fut parti, elle resta seule, le cœur chagrin…
Vos productions :
- Le pont lui semblait désespérément vide.
- Devant le pont qu’il vient de traverser, les arbres ont froid, la neige pèse lourdement sur leurs branches dénudées. Mais au loin semble déjà briller la lumière du soleil vers laquelle il marche.
- elle ne savait où aller.
- Une fois qu’il fut parti, elle resta seule le cœur chagrin cherchant son souffle désespérément, guettant sa silhouette au loin, se raccrochant à cette image qui ne pouvait pas s’évanouir pensait-elle pendant qu’une main invisible lui broyait le ventre et qu’elle se demandait qui serait-elle sans lui ? Saurait-elle respirer même sans le voir, pourrait-elle vivre sans sa présence ?
Elle eut envie de se replier sur elle, sur son désespoir qui grandissait en elle, de se laisser tomber à genoux comme impuissante et de crier silencieusement son immense et douloureux chagrin. - Une fois qu’il fut parti, elle resta seule, le cœur chagrin… n’écoutant que le silence assourdissant de sa solitude qui résonnait avec écho dans le vide de sa tristesse.
- Une fois qu’il fut parti, elle resta seule, le cœur chagrin… Elle resserra son manteau contre elle et chassa une larme d’un revers de main. Après tout, c’est elle qui l’avait décidé, ils devaient se séparer. En le regardant disparaître derrière les arbres chargés de neige, elle se dit que c’était la dernière fois qu’elle le voyait… et malgré la douleur au fond de sa poitrine, elle se sentit enfin libre…
- Une fois qu’il fut parti, elle resta seule, le cœur chagrin, comprenant que leur amour serait sans lendemain !
- Il a décidé franchir l’autre versant en quête de rêves d’illusion. En reviendra-t-il bredouille et amoché ou…
@VIALONSeverine @BleueEvelyne Il a décidé franchir l’autre versant en quête de rêves d’illision.En reviendra-t-il bredouille et amoché ou…
— maurice robitaille (@MorrisRoby) 21 Février 2016
Le pont lui semblait désespérément vide.
Devant le pont qu’il vient de traverser, les arbres ont froid, la neige pèse lourdement sur leurs branches dénudées. Mais au loin semble déjà briller la lumière du soleil vers laquelle il marche.
elle ne savait où aller
Une fois qu’il fut parti, elle resta seule le coeur chagrin cherchant son souffle désespérément, guettant sa silhouette au loin,se raccrochant à cette image qui ne pouvait pas s’évanouir pensait-elle pendant qu’ une main invisible lui broyait le ventre et qu’elle se demandait qui serait-elle sans lui? Saurait-elle respirer même sans le voir, pourrait-elle vivre sans sa présence?
Elle eut envie de se replier sur elle, sur son désespoir qui grandissait en elle, de se laisser tomber à genoux comme impuissante et de crier silencieusement son immense et douloureux chagrin.
Une fois qu’il fut parti, elle resta seule, le cœur chagrin… n’écoutant que le silence assourdissant de sa solitude qui résonnait avec écho dans le vide de sa tristesse.
Une fois qu’il fut parti, elle resta seule, le cœur chagrin… Elle resserra son manteau contre elle et chassa une larme d’un revers de main. Après tout, c’est elle qui l’avait décidé, ils devaient se séparer. En le regardant disparaître derrière les arbres chargés de neige, elle se dit que c’était la dernière fois qu’elle le voyait… et malgré la douleur au fond de sa poitrine, elle se sentit enfin libre…
Une fois qu’il fut parti, elle resta seule, le cœur chagrin, comprenant que leur amour serait sans lendemain !
C’est un bon marcheur qui a l’air de savoir où il va. Je ne sens aucun chagrin dans son allure. Est-ce un garçon, est-ce une fille ? Je ne peux le distinguer, même si la phrase de départ souligne un “chagrin” d’amour ou une dispute. Je ne vois pas non plus dans son comportement de la tristesse !
Chacun peut interpréter la photo.
La photo n’est qu’une aide, et le cœur chagrin est pour la personne qui reste pas pour celle qui est partie !
Si c’est le garçon qui marche vers la lumière qui transparait au bout de chemin, où se trouve la fille qui a le cœur gros de se sentir abandonné ?
Plusieurs scénario possible : elle pleure de joie de de voir partir et dans ce cas elle ne prend aucune photo de son départ. Elle veut l’oublier à jamais.
Si elle pleure de tristesse, alors on peut l’imaginer en train de prendre la photo, sans doute la dernière, de celui qui avait comblé son cœur depuis des mois.
Mais on peut aussi la voir dans cette silhouette au loin sur le chemin. Elle part pour cacher son chagrin ne voulant pas montrer son effondrement intérieur à celui qui ne veut plus d’elle.
Ami blogueur, pourquoi ne pas ouvrir un autre dialogue avec la fille qui part en pleurant, préférant la solitude pour mieux cacher ses larmes.