A vous de continuer en novembre 2016
Allongée dans l’herbe, elle observait le magnifique ciel étoilé qui s’étalait au-dessus de sa tête.
A vous de continuer en novembre 2016
Je vous propose le début, à vous de poursuivre par une phrase ou plus, selon votre inspiration, selon votre temps, selon votre envie.
J’ai pris ce début dans Le cercle de Mantéia de Véronique B. Jeandé, un livre que je viens de finir de lire (chronique à venir)
Allez, à vos claviers ! A vous de continuer en novembre 2016, c’est parti !
Allongée dans l’herbe, elle observait le magnifique ciel étoilé qui s’étalait au-dessus de sa tête.
Vos productions pour a vous de continuer en novembre 2016 :
- Un minuit d’été bon comme un quatre heures d’enfance, doux comme une maman attentionnée ou les bras d’un amant amoureux, elle se laissa aller à songer à une autre vie, bien dans la lune, rêveuse, comme gamine sur les bancs de l’école…
- Et lorsqu’elle voit cette nuée d’étoiles, elle se plait à croire qu’elle gambade parmi elles. Légère comme une bulle, libre comme l’air, heureuse comme on ne peut l’imaginer. Que n’est-elle une fée pour pouvoir, d’un claquement de doigts, accéder à ses songes les plus fous ?
- Se voyant sur la petite ourse, elle se faufile en douce. Ne voulant laisser aucune chance aux autres étoiles filantes. Installer comme une déesse, son regard caresse l’univers tout entier. Souhaitant avaler tous les mystères de la voix lactée. Rien n’est plus déroutant que d’admirer la planète bleue.
- Elle était encore loin du fin crachin tenace d’automne qui accompagnerait la rentrée, quand elle n’aimerait plus la nuit qui s’attarderait. Maintenant la nuit douce était son amie et la chaise-longue s’était transformée en vaisseau spatial plus rapide que la lumière, un cocon glissant allègrement de galaxie en galaxie.
- Il y en avait tant qu’il lui était impossible de les compter. Quel spectacle ! Et d’un seul coup, cette myriade d’étoiles se mit à filer. Mais pour quelle destination ? Qui allaient elles rejoindre ? Mystère ! La suite au prochain numéro.
- Allongée dans l’herbe, elle observait le magnifique ciel étoilé qui s’étalait au-dessus de sa tête. ( pour faire écho au dernier paragraphe) Elle les regarde partir ces étoiles les envies même, là ou elles vont nul misère nulle guerre. Que beauté et lumières….
Un minuit d’été bon comme un quatre heures d’enfance, doux comme une maman attentionnée ou les bras d’un amant amoureux, elle se laissa aller à songer à une autre vie, bien dans la lune, rêveuse, comme gamine sur les bancs de l’école…
Sur la photo, pas de lune, mais seulement un champ d’étoiles. Mais milieu novembre, elle s’est montrée, notre sœur lune, magnifique avec une taille qui aurait fait rougir la grenouille de Monsieur de La Fontaine.
Ça c’est sûr mais tu n’as pas continué la phrase que j’ai donnée ! Non mais rhooooooo !
Et lorsqu’elle voit cette nuée d’étoiles, elle se plait à croire qu’elle gambade parmi elles. Légère comme une bulle, libre comme l’air, heureuse comme on ne peut l’imaginer. Que n’est-elle une fée pour pouvoir, d’un claquement de doigts, accéder à ses songes les plus fous ?
Se voyant sur la petite ourse, elle se faufile en douce. Ne voulant laisser aucune chance aux autres étoiles filantes. Installer comme une déesse, son regard caresse l’univers tout entier. Souhaitant avaler tous les mystères de la voix lactée. Rien n’est plus déroutant que d’admirer la planète bleue.
Elle était encore loin du fin crachin tenace d’automne qui accompagnerait la rentrée, quand elle n’aimerait plus la nuit qui s’attarderait. Maintenant la nuit douce était son amie et la chaise-longue s’était transformée en vaisseau spatial plus rapide que la lumière, un cocon glissant allègrement de galaxie en galaxie.
Il y en avait tant qu’il lui était impossible de les compter. Quel spectacle ! Et d’un seul coup, cette myriade d’étoiles se mit à filer. Mais pour quelle destination ? Qui allaient elles rejoindre ? Mystère ! La suite au prochain numéro.
Allongée dans l’herbe, elle observait le magnifique ciel étoilé qui s’étalait au-dessus de sa tête. ( pour faire écho au dernier paragraphe) Elle les regarde partir ces étoiles les envies même, là ou elles vont nul misère nulle guerre. Que beauté et lumières….
Coucou Séverine
ça donne quelque chose de magnifique ce jeu de mots à la suite…passe une belle soirée…bisous