Défi 130 : Vos écrits, ma chère Storiette !
défi 130 : écrire sur le thème : vos écrits, un défi proposé toutes les semaines par Evy.
Si vous avez raté le début, c’est par ici
Défi 130 : Vos écrits, ma chère Storiette !
– Bonsoir fée Storiette. Comment allez-vous ce soir ? La journée a été productive ?
La jeune fée tourne son visage vers mon esprit. Ses yeux sont humides et de longues traces révèlent une grande quantité de larmes versées. Mon esprit l’enveloppe d’un trait afin de lui apporter tout le réconfort qui lui est nécessaire. Une fois calmée, elle accepte de s’ouvrir à lui.
– Je n’avance à rien, en plus, je suis sûre que le peu que je produis est d’une médiocrité telle que tout le royaume se moquera de moi. Je suis d’une nullité à faire pleurer ma mère. Comment pourra-t-elle un jour, être fière de moi ? Elle doit commencer à désespérer de me fvoir faire quelque chose de ma vie.
Ses sanglots reprennent de plus belle. Mon esprit est loin d’être à l’aise face à la situation. Il se doit de réagir au plus vite afin de ne pas laisser son amie dans la panade.
– Pourquoi vous dévalorisez-vous ainsi, fée Storiette ? Je suis persuadé que vous vous trompez. Montrez-moi donc vos écrits du jour. Je vous donnerai mon avis.
– Vos êtes gentil, mais je suis persuadée que vous ne serez pas objectif. Vous direz en fonction de ce qui me fera plaisir, dans le seul but de me remonter le moral.
– Je vous assure que non. Vous mentir sur la qualité de vos écrits ne vous aiderait en rien dans l’accomplissement de votre rêve. je serai absolument sincère. Faites-moi confiance.
Fée Storiette lui tend son cahier et s’assied sur son lit en attendant que mon esprit attaque sa lecture.
La production du Chaton :
La Liberté de l’écrivain
Liberté d’écrire
Sans rien proscrire,
C’est l’ombre du poète,
Qui se veut discrète.
Piocher dans son fort interne,
Bien ouverte sa lanterne,
Pour tout mettre au grand jour,
Sans aucun détour.
Sera-t-elle lue sa prose,
Petite ou grande chose ?
Personne ne peut le dire.
Ce n’est pas du délire.
C’est de l’auteur la fierté,
Il vous faut l’accepter.
Écrire ou laisser ensabler,
Ce qui a pu l’accabler,
Pendant des années ;
Ce qui l’a aliéné,
Et qu’il a dû longtemps taire
Englouti au fond de sa chair,
Face au monde extérieur,
Qui se considérait supérieur.
Glaner dans les profondeurs de son être,
En scrutant son propre baromètre,
Pour créer ce qu’on appelle poésie,
Un ensemble des morceaux choisis,
C’est la liberté d’un auteur
Qui ne se prend pas pour un acteur.
Libérer son cœur,
Refusant toute rancœur,
Aligner sur du papier,
Sans se sentir épier,
Des mots que lui seul peut comprendre,
Et qu’il vous invite à apprendre.
Donner du sens à des termes,
Sortis de son épiderme,
Qui choquent votre conscience
Et défient votre silence.
Sa manière d’écrire vous fait peur,
Vous occasionnel lecteur ;
C’est la liberté d’un auteur
Qui ne se veut pas accusateur.
Ouvrir son interne,
En vidant sa citerne,
Arracher de ses tripes
Ceux qui le défripent,
Pour avoir noirci son itinéraire,
Eux qui furent des adversaires ;
Il n’a rien vu venir,
Il doit en convenir.
Déverser de son fort interne,
Pour le rendre externe,
Écrire ou ne pas écrire
Et de ses souvenirs en finir ;
Ne pouvant plus graver sur le papier
Ni remplir des pages de cahier,
Word les a remplacés,
Il les a balancés.
Il ne pouvait se taire,
C’était pour lui un calvaire.
De ses souvenirs faire abstraction,
Quelle punition ?
Il a desserré son frein,
Tout en restant serein.
C’est la liberté de l’auteur,
Qui ne peut fermer son cœur.
(13 octobre 2017)
Pauvre petite… une mauvaise passe voilà tout, et puis les muses aussi, là pas là !!! ,-)
Quand l’inspiration n’est pas là, c’est terrible… !
Bises et bon début de semaine Séverine
La Liberté de l’écrivain
Liberté d’écrire
Sans rien proscrire,
C’est l’ombre du poète,
Qui se veut discrète.
Piocher dans son fort interne,
Bien ouverte sa lanterne,
Pour tout mettre au grand jour,
Sans aucun détour.
Sera-t-elle lue sa prose,
Petite ou grande chose ?
Personne ne peut le dire.
Ce n’est pas du délire.
C’est de l’auteur la fierté,
Il vous faut l’accepter.
Écrire ou laisser ensabler,
Ce qui a pu l’accabler,
Pendant des années ;
Ce qui l’a aliéné,
Et qu’il a dû longtemps taire
Englouti au fond de sa chair,
Face au monde extérieur,
Qui se considérait supérieur.
Glaner dans les profondeurs de son être,
En scrutant son propre baromètre,
Pour créer ce qu’on appele poésie,
Un ensemble des moreaux choisis,
C’est la liberté d’un auteur
Qui ne se prend pas pour un acteur.
Libérer son cœur,
Refusant toute rancœur,
Aligner sur du papier,
Sans se sentir épier,
Des mots que lui seul peut comprendre,
Et qu’il vous invite à apprendre.
Donner du sens à des termes,
Sortis de son épiderme,
Qui choquent votre conscience
Et défient votre silence.
Sa manière d’écrire vous fait peur,
Vous occasionnel lecteur ;
C’est la liberté d’un auteur
Qui ne se veut pas accusateur.
Ouvrir son interne,
En vidant sa citerne,
Arracher de ses tripes
Ceux qui le défripent,
Pour avoir noirci son itinéraire,
Eux qui furent des adversaires ;
Il n’a rien vu venir,
Il doit en convenir.
Déverser de son fort interne,
Pour le rendre externe,
Ecrire ou ne pas écrire
Et de ses souvenirs en finir ;
Ne pouvant plus graver sur le papier
Ni remplir des pages de cahier,
Word les a remplacés,
Il les a balancés.
Il ne pouvait se taire,
C’était pour lui un calvaire.
De ses souvenirs faire abstraction,
Quelle punition ?
Il a desserré son frein,
Tout en restant serein.
C’est la liberté de l’auteur,
Qui ne peut fermer son cœur.
(13 octobre 2017)
et zut toi tu coupe au moment ou ça devient intéressant!!!! Bisousssss
[…] A suivre. […]
Bou die comme on dit en provence sacré Fée Storiette mais faut pas la dévalorisez à bientôt pour la suite merci ma Sévy pour ta fidélité je met en ligne bonne journée bisous
Il faut être inspirée…
A suivre !
Bises Sévy
… bien hâte à la suite … bonne fin de soirée Séverine ! Amitiés♥
On la sent vraiment malheureuse Fée Storiette , j’espère qu’elle pourra se rassurer .
Bonne soirée
Bisous
Ah ..impatiente de lire la site
CHATON Bravo défi très bien relevé
Bon Weekend