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Récré 34 : Esteban vit au milieu de bois

Récré 34

Récré 34 : Esteban vit au milieu de bois

Un élève qui arrive à la cour de récréation qui pourrait très bien ressembler (pour la fin du poème) à ma pauvre Maïa que je malmène dans mon 2e tome de A l’abri de la différence.

Récré 34 : Esteban vit au milieu de bois

Logée au fin fond des bois

Dans la forêt de Saint Loup de Friboois,

La famille du jeune Esteban

Vit dans une simple cabane.

Tous vêtus de vêtements en rabane,

Toute la journée ils encabanent

En utilisant de l’essence de mirbane.

 

Vivre au plus près de la nature,

ce n’est pas écrit dans la littérature.

Certains pourraient y voir un côté immature,

Pourtant, c’est une belle aventure

En s’adonnant à la culture.

 

Un retour à la civilisation

Sera une difficile équation.

Il faudra y aller par gradation

Sans aucune différenciation

Pour éviter toute humiliation

Dans la cour de récréation.

 

La production de l’Hirondelle :

Le jeune Esteban
Assis sur un banc
Vêtu d’un vieux caban,
Regarde au loin la ville de Montauban.

Il revoit ses années passées à école,
Dans l’unique classe de son village agricole,
Dans une région vinicole,
Et même arboricole.

Le dos appuyé au mur de sa cabane
Il s’imagine en Guyane
Se balançant sur les lianes
Avec sa copine Christiane.

Cette cabane est sa maison
Durant la bonne saison,
Lorsque s’ouvre les floraisons,
Qui lui cause des démangeaisons.

Il aime la vie en pleine nature,
Où vivent tant de créatures,
Au milieu de la verdure,
Là, il s’invente de nouvelles aventures.

 

Écrit dans le cadre du melting pot de la cour de récréation de JB, allez voir les autres Esteban ! (après midi).

A la semaine prochaine pour un nouveau prénom, qui sera : Irène.

 

14 réflexions au sujet de « Récré 34 : Esteban vit au milieu de bois »

  1. Bonjour élève Séverine, en rabane c’est loin d’être en Paco Rabanne… Vivre au plus près de la nature, sans grand confort ni Mac Do est une expérience qui doit marquer, retourner à la ville c’est retourner à la civilisation moderne, remettre Jean’s et T-Shirt, bref, Esteban sois le bienvenu à la cour de récré, MERCI à toi, bises de m’dame JB 😉

  2. Et surtout pour se trouver confronté à la société de consommation qui pourrit ses petits camarades . Courage Esteban !
    Bises et bon mercredi Séverine

  3. Bonjour Séverine. Etonnant, je sens passer dans tes vers la patte d’un certain Chaton, hé hé (au fond, pas si étonnant) et puis même un léger coup d’aile d’Hirondelle ! Trêve de plaisanterie, très belle histoire, pour l’accueil de ton Esteban à la Cour de récré, je ne me fais aucun souci, c’est le monde dit “civilisé” autour qui va poser problème, oui. Bravo, gros bisous.

  4. Ben moi j’aime bien ton Estéban qui vit dans les bois, j’adore sa tite maison de bois
    ideal pour se ressourcer de la nature
    Bisous Séverine

  5. Le jeune Esteban
    Assis sur un banc
    Vêtu d’un vieux caban,
    Regarde au loin la ville de Montauban.

    Il revoit ses années passées à école,
    Dans l’unique classe de son village agricole,
    Dans une région vinicole,
    Et même arboricole.

    Le dos appuyé au mur de sa cabane
    Il s’imagine en Guyane
    Se balançant sur les lianes
    Avec sa copine Christiane.

    Cette cabane est sa maison
    Durant la bonne saison,
    Lorsque s’ouvre les floraisons,
    Qui lui cause des démangeaisons.

    Il aime la vie en pleine nature,
    Où vivent tant de créatures,
    Au milieu de la verdure,
    Là, il s’invente de nouvelles aventures.

  6. Bien jolie tes écrits mon petit fils s’appelle Esthéban passe une bonne journée bisous

  7. deux Esteban qui aime la nature seront bienvenus a la cour nul doute. Jolis textes

  8. Bravo pour ces 2 textes
    Bises Sévy

  9. Bien sympathique tout ça ! et fort bien écrit.
    Bonne soirée

  10. je suis plus ville que campagne (même si je n’y habite pas) la vie sauvage n’est pas pour moi… bon courage Esteban !

  11. Bon courage à Esteban pour reprendre contact avec la civilisation .
    Bonne soirée
    bisous

  12. Loin de toute civilisation,
    Des copains, aucune humiliation.
    Près de sa cabane pas de dénonciation,
    Il fait, lui-même, son appréciation.

    Quand il fait trop froid, il allume la cheminée,
    Le bois, il n’en manque pas,
    Ça ne va pas le ruiner,
    D’utiliser la pampa.

    Lors de ses promenades dans les bois,
    Il emmène toujours son carquois,
    Et surveille les animaux aux abois,
    En les pointant du doigt.

  13. Oh ! Madame JB saura s’y prendre, Séverine ! Je suis certaine que l’accueil sera bon ! Bonne soirée ! Amitiés♥

  14. Joli poème aussi, de L’Hirondelle !

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