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Avous de continuer 15 le crépuscule des ronces

Avous de continuer 15 le crépuscule des ronces

Avous de continuer 15 le crépuscule des ronces

Je m’étonnais que le vieil homme eût pu marcher si longtemps sans connaître son but.

Avous de continuer 15 le crépuscule des ronces

Je vous propose le début, à vous de poursuivre par une phrase ou plus, selon votre inspiration, selon votre temps, selon votre envie.

J’ai pris ce début dans Le crépuscule des ronces de Michel Philippo

Allez, à vos claviers ! Avous de continuer Le crépuscule des ronces , c’est parti !

Je m’étonnais que le vieil homme eût pu marcher si longtemps sans connaître son but.

 

Avous de continuer 15, vos productions :

  • Sans but précis, juste revoir le soleil se coucher dans un automne encore doux, lui qui se savait condamner dans l’hiver de son âge… Je suivais père du regard, au loin… Debout face au soleil couchant, se reposant juste sur sa canne, veuf récent noyé de soudaine solitude…
  • Ce vieil homme, mon père, venait de perdre celle qui, depuis toutes ces années, se tenait à ses côtés, dans les bons et mauvais jours………Ma mère !! Cette Maman qui allait tant me manquer !
    Il me fallait cacher mes pleurs, cacher ma souffrance, taire mes regrets……Soutenir mon père dans ce terrible fardeau que sera son absence………….
  • Après les larmes pour le dernier adieu l’ultime moment de la séparation il avait fallu recommencer à avancer les premiers jours furent si difficile que d’y pense me donnent encore du chagrin. Je portais mon père plus que je le soutenais, je le sentais partir à la dérive il refusait de manger, il restait le jour comme la nuit dans un fauteuil. Même son médecin s’inquiétait j’étais désespérée.
  • Il allait cahin caha dans le soleil couchant, la canne l’aidant dans cette semi obscurité à ne pas tomber, perdu dans ces pensées admirait-il seulement la beauté de l’instant?…
  • Il ne semblait pas sentir la douleur qui ralentissait pourtant sa marche depuis des années. Perdu dans ses pensées il ne s’apercevait même pas du chemin parcouru et qu’il s’était considérablement éloigné de son domicile .
  • A l’instant présent, son seul souci était de savoir comment il pourrait vivre ou plutôt survivre sans sa bien aimée. Comment combler ce vide et surtout en est-il capable? Seul l’avenir pourra le dire…
  • Il allait tout droit devant lui, tel un somnambule, croyait-on mais il était attiré pas le soleil couchant, ne voulant pas en perdre un instant.

 

D’autres phrases à continuer ?

 

8 réflexions au sujet de « Avous de continuer 15 le crépuscule des ronces »

  1. Sans but précis, juste revoir le soleil se coucher dans un automne encore doux, lui qui se savait condamner dans l’hiver de son âge…

    Je suivais père du regard, au loin… Debout face au soleil couchant, se reposant juste sur sa canne, veuf récent noyé de soudaine solitude…

  2. Ce vieil homme, mon père, venait de perdre celle qui, depuis toutes ces années, se tenait à ses côtés, dans les bons et mauvais jours………Ma mère !! Cette Maman qui allait tant me manquer !
    Il me fallait cacher mes pleurs, cacher ma souffrance, taire mes regrets……Soutenir mon père dans ce terrible fardeau que sera son absence………….

  3. Après les larmes pour le dernier adieu l’ultime moment de la séparation il avait fallu recommencer à avancer les premiers jours furent si difficile que d’y pense me donnent encore du chagrin.

    Je portais mon père plus que je le soutenais, je le sentais partir à la dérive il refusait de manger, il restait le jour comme la nuit dans un fauteuil. Même son médecin s’inquiétait j’étais désespérée.

  4. Il allait cahin caha dans le soleil couchant, la canne l’aidant dans cetet semi obsurité àne pas tomber, perdu dans ces pensées admirait-il seulement la beauté de l’instant?…Voilà. Bisous

  5. Il allait cahin caha dans le soleil couchant, la canne l’aidant dans cetet semi obscurité à ne pas tomber, perdu dans ces pensées admirait-il seulement la beauté de l’instant?…Voilà. Bisous

  6. Il ne semblait pas sentir la douleur qui ralentissait pourtant sa marche depuis des années. Perdu dans ses pensées il ne s’apercevait même pas du chemin parcouru et qu’il s’était considérablement éloigné de son domicile .
    Bonne fin de journée
    Bisous

  7. A l’instant présent, son seul souci était de savoir comment il pourrait vivre ou plutôt survivre sans sa bien aimée. Comment combler ce vide et surtout en est-il capable? Seul l’avenir pourra le dire…

  8. Il allait tout droit devant lui, tel un somnambule, croyait-on mais il était attiré pas le soleil couchant, ne voulant pas en perdre un instant.

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